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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 19:54

GARDEZ LA PAIX

 

 

 

ENSEMENCEURS DE MONDES  le 11.03.2011

 

 

 

Paix, paix, paix.

Que cette paix soit dans le cœur de chacun et de chacune. Les mouvements intérieurs, les mouvements extérieurs ne doivent pas vous éloigner ni les uns ni les autres de cette paix. La Paix vous la désirez, vous la proposez, vous en parlez, mais savez-vous exactement ce qu’elle est, quelle est sa nature, quel est son goût, quel est sa couleur, sa vibration ? Au plus profond à l’intérieur de vous-même, elle se trouve. Ne la prononcez pas du bout des lèvres, mais, allez la trouver, la recueillir en vous, comme une étincelle, comme la lumière, la flamme ardente qui est la source de vous-même. C’est un mot, nous diriez-vous, c’est une notion, c’est quelque chose qui en apparence est une idée, une pensée. En fait, c’est bien plus, beaucoup plus que cela. Vous pensez sans doute que cela n’est pas tangible, que vous ne pouvez la recueillir, la cueillir, la toucher à l’intérieur de vos mains, de votre cœur. En fait, si vous connaissiez réellement ce qu’elle est en vous, vous n’auriez pas cette pensée, parce que la paix est bien plus qu’une notion, qu’une pensée, qu’une idée. Elle est en quelque sorte à l’intérieur de vous, matière profonde, tangible. Vous êtes, vous avez été à l’intérieur de cette Terre, lorsque vous avez décidé en conscience, avec votre Conscience de venir vous redonner forme. Vous avez été forgés, formés dans vos cellules, dans vos atomes également par ce matériau, cette paix. Elle est une partie intégrante de la structure, de votre structure à partir du moment où vous êtes à l’intérieur de cette Terre. Cela vous étonne peut-être, parce que, comme nous l’avons souvent dit, lorsque vous ouvrez les yeux, les oreilles, ce qui apparaît en premier à l’intérieur de votre Terre, c’est l’inverse. Mais cet inverse-là, au fond n’est qu’une apparence. Nous ne désirons pas minimiser les choses, simplement vous rappeler que la paix est derrière les voiles, derrière les apparences que vos yeux, vos oreilles captent. Bien sûr, vous pouvez à tout instant, et, les instants ne manquent pas, vous laisser déstabiliser et oublier la nature profonde qui est vôtre. Or, c’est justement, paradoxalement lorsque l’apparence, lorsque les apparences sont à l’inverse de cette paix, qu’il devient de plus en plus essentiel d’aller au-delà de ces apparences, de traverser les couches, de couche en couche pour se retrouver soi-même à l’intérieur du noyau, en contact direct avec l’essence et l’essentiel, l’essence du ciel, diraient certains. Allez, allons ensemble au cœur de ce noyau, au cœur du noyau de vos atomes, et regardez, ressentez, écoutez. Ecoutez à l’intérieur de vous, à l’intérieur du battement, des battements du cœur, de votre cœur. Battements réguliers ou moins, accélération parfois, mais, si vous êtes à l’écoute du battement régulier de votre cœur, de la pulsation de celui-ci, vous percevrez alors un équilibre sous jacent. La réalité de la vie, de l’être que vous êtes, de l’êtreté qui vous habite, cette réalité c’est le battement régulier, la pulsation forte, mais en même temps douce et tranquille qui ouvre à la circulation de vos fluides, à la circulation du sang qui circule sans que vous en ayez parfois conscience à l’intérieur de vous, de vos organes, dans tous les endroits qui nourrissent le corps physique matériel et matière, la structure de votre être. Comment croyez-vous, comment sentez-vous, comment savez-vous que la vie circule en vous ? Avez-vous conscience de cette vie qui pulse à l’intérieur de vous ? Avez-vous conscience que vous êtes cette vie qui circule, qui va, qui vient ? Avez-vous conscience que ce qui sous tend cette vie qui est vous, c’est l’onde, ce sont les ondes de cette paix ? Observez, contemplez l’intériorité de votre être. Vous le savez, vous le sentez, même si à certains moments, et bien souvent vous l’oubliez. Ressentez que ce n’est qu’à partir de cet équilibre en vous, de cette paix que votre vie, que la vie se déroule. Dès que quelque chose vous perturbe, il se passe un déséquilibre et vous mettez des couches. Vous recouvrez comme d’un couvercle, le noyau, le centre et le cœur, et à ce moment-là vous êtes tout affolé, dans les inquiétudes. Vous êtes soumis, soumises, vous, vous soumettez aux sensations, aux sentiments de peur , et vous oubliez que le noyau de votre vie c’est la Paix. Parce qu’il ne peut y avoir de vie, de déroulement vital, sans que la paix ne soit. Certes, vous pouvez si vous le désirez, nous pourrions si nous le désirions remplacer ce mot de paix par d’autres, lesquels ? Amour, lumière, vie, cela n’est-il pas la même chose ? Mais, si aujourd’hui en cet instant, c’est avec la paix que nous désirons vous enseigner, si aujourd’hui c’est la paix que nous vous proposons de découvrir, de re découvrir, c’est parce que cela est essentiel, à vous, et en même temps à tous ceux, à toutes celles qui forment l’égrégore de cette humanité. Cela est nécessaire à la conscience globale de cette humanité, comme cela est nécessaire à la conscience une, non divisée de votre Terre.

La Source première, une, la Source Père-Mère, à partir de quoi pensez-vous qu’elle a créée ? Certes à partir de son amour, de sa créativité, de son désir d’engendre, de donner d’aimer la Vie, mais vous, vous tous en cette humanité, si vous désirez créer, vous ne pouvez créer qu’à partir de la paix. Les créations issues d’un sentiment de peur, ne durent jamais, elles finissent bon an, mal an, un jour ou l’autre par se briser. Ce qui reste, ce qui se déploie, ce qui se donne, c’est ce qui est créé dans la tranquillité de l’âme, dans la conscience à partir de la Paix. Intégrez cela quelques instants, car beaucoup d’être à l’intérieur de cette Terre oublient, ont oublié d’abord qu’ils sont des créateurs, ensuite s’est perdu pour beaucoup une partie de ce que nous allons appeler le « mode d’emploi » de la création, de la créativité. Et cette partie du mode d’emploi de la création, de la créativité porte un nom, c’est la Paix. Saluez une à une, et nous avons bien dit une à une, les cellules qui vous forment, qui forment la matière de vos corps physiques, matériels. Saluez les cellules une à une qui forment les autres de vos corps plus subtils. Cette vérification, ce salut, cette salutation, cette célébration de chacune de vos cellules, vous permet, vous permettra de retrouver le noyau, la nature, la source qui est la paix. Oui, nous l’avons dit bien souvent, et, nous sommes tout à fait disposés à le répéter, et le répéter encore : la Conscience de votre Terre, son être tout entier est l’offrande absolue, inconditionnelle de cette paix. Et, lorsque vous entrez à l’intérieur de votre Terre, lorsqu’elle vous ouvre ses bras, lorsqu’elle vous serre tendrement, tout près de son cœur, son bouquet d’offrande ; ses fleurs précieuses, c’est la nature de cette paix.

Imaginez, parce que c’est au fond une réalité, imaginez lorsqu’une mère qui vient d’accoucher, une fois les perturbations de la mise au monde passées, imaginez-la cette mère tenant tendrement, tranquillement son enfant sur son cœur, sur son ventre et dans ses bras. Que se passe-t-il ? Que se vit-il entre la mère et l’enfant ? Eh bien cet enfant sorti der l’accouchement, c’est vous. Elle vous tient dans ses bras, elle vous tient sur son cœur, sur son ventre et vous berce tendrement. L’enfant qui vient de naître, qui vient d’être mis au monde, qui vient de découvrir la lumière extérieure a besoin d’être rassuré, ré assuré. Chacun de vous est cet enfant, et vous avez besoin également d’être, tous ré assurés. Ces moments de réassurance, offrez-les vous, parce que ce n’est pas dans ce que vous nommez le stress, ce n’est pas en fermant les yeux et les oreilles à la chaleur, au cœur, à la tendresse de celle qui vous porte que vous pourrez aller jusqu’au cœur, jusqu’au noyau de vous-même pour goûter, intégrer, retrouver la nature de vous-même. Il est essentiel qu’au milieu d’un certain affolement extérieur parfois, justement vous trouviez le temps, comme vous dites, de vous arrêter. D’arrêter le mécanisme qui va de l’avant et encore de l’avant et qui se précipite parfois. Donnez-vous, offrez-vous des instants de pause, de calme, de repos.

Les êtres souvent se disent « je n’ai pas le temps ». Ils courent, ils courent encore après qui, après quoi, ils ne savent même pas. Entrez à l’intérieur de vous, allez à la rencontre du noyau de la nature de vous-même, allez trouver, retrouver au fond de vous, à l’intérieur de chacune de vos cellules, des cellules de chacun de vos corps, allez trouver le battement doux, équilibré de votre vie, de la vie qui bat, qui pulse et qui est votre nature. Vous êtes la pulsation de la vie. La vie se crée-t-elle au milieu de l’affolement ? Elle ne demande cette vie qu’à se déployer, qu’à étendre ses champs, ses espaces de lumière. Cela peut-il se faire en dehors de la paix ? Ne soyez pas, enfants de cette Terre, fils, filles des étoiles, ne soyez pas comme ces apprentis brouillons qui perdent, parce qu’ils se hâtent trop, la moitié des pièces du puzzle et qui ne peuvent plus refaire l’ensemble du paysage. Mais soyez comme celui ou celle qui a pris précaution de mettre d’abord près de lui tous les outils dont il a besoin pour créer son œuvre, qui sait parfaitement où il désire aller et qui y va pas à pas, au rythme qui est le sien. Pas celui de l’autre, mais le sien. Vous, vous déracinez vous-même, vous, vous mettez en dehors de votre nature, de la paix en vous, lorsque vous désirez adopter le rythme de l’autre, si d’aventure celui du voisin ou de la voisine serait meilleur. Il n’y a rien, enfants de cette Terre, fils, filles des étoiles lumière, il n’y a rien qui soit meilleur, moindre que la vie, la paix s’étend, c’est une onde profonde. C’est l’onde, la fréquence de la vie en vous, c’est le calme tranquille de celui qui sait que pas à pas, que battement en battement les choses sont. Que tout arrive, comme vous dites au point juste, au moment juste, le vôtre, celui de chacun. La vie, l’onde de vie a tellement de facettes, tellement de possibilités et de possibles. N’enfermez pas les choses, ne vous enfermez pas non plus et ne vous laissez pas, surtout pas enfermer. Ouvrez grand la porte, la porte de votre cœur qui bat, tranquillement. Ouvrez à l’onde de cette paix, à votre nature, sans vous laisser perturber par ceci, par cela.

La Source Père-Mère habite en vous, dans le temple de cette paix que vous êtes, et qu’elle est unie au cœur de la Conscience de votre Terre, qui avance elle aussi dans ses propres ondes paisibles, au-delà derrière le voile, derrière les voiles que vous avez posé, ou que d’autres, à certains moments ont pu poser. Mais, les voiles se déchirent pour que vous puissiez regarder derrière. Vous ne le pouvez pas si vous êtes pris, prises dans l’onde de la peur. Vous remettrez d’autres voiles plus épais, alors que c’est le souffle de la vie en vie, c’est l’éclairage issu directement du noyau de cette paix qui vous permettra de soulever les voiles et d’aller au-delà de ce qui est présenté, de ce qui est enfermé, de ce qui est tremblé. Ouvrir sur l’onde, ouvrir sur les dimensions, aller au-delà de ce qui a été caché, de ce qui se cache encore à l’intérieur de vos cerveaux, dans les apparences, dans les paroles trompeuses parfois de celui-ci, de celle-là. Allez au-delà, mais ne combattez pas, parce que le combat remet les voiles et fait grossir les nuages, et remet les couches une à une. Celui, celle qui avance en tranquillité, en calme, est celui qui tient la flamme de sa propre lumière. C’est le pèlerin du cœur, c’est le porteur de lumière et l’accueilleur de paix. Qui voulez-vous être ? C’est là, la question, c’est votre question à chacun et à chacune, et, personne, enfants de cette Terre, fils, filles des étoiles lumière ne peut y répondre à votre place.

Alors, cette réponse, votre réponse à partir de quoi va-t-elle se poser ? Va-t-elle se poser à partir de votre paix ou à partir de votre peur ? C’est peut-être là, la grande question qui est posée à cette humanité, et ce n’est pas d’aujourd’hui. De tous temps cette question a été posée, murmurée en votre cœur, en vos oreilles. Que choisissez-vous ? Qu’allez-vous choisir individuellement, collectivement ? Allez-vous continuer enfants de cette Terre, fils et filles des étoiles, à vous laissez tromper, à vous tromper vous-même, à l’intérieur de votre peur ? Allez-vous continuer à être trompés par ceux qui désirent vous effrayer, ou allez-vous continuer à être dans l’écoute de votre paix, à l’écoute du noyau de vie de votre propre création de cœur ? Suivrez-vous la voie de la lumière ? Ouvrirez-vous votre cœur, le cœur à l’Amour sans condition ? Ce n’est pas à nous, enfants de cette Terre, de répondre. Vous savez bien, ce que, nous créateurs de lumière, ensemenceurs de ces mondes de lumière et d’Amour avons choisit. Si vous le désirez, vous n’êtes pas différents, puisqu’en vous, en nous, la Source Père-Mère a mis les mêmes choses, les mêmes similitudes. C’est cela que beaucoup d’entre vous, en cette Terre ou à d’autres endroits, peu importe ont oublié. Mais, toujours nous vous insufflons, nous avons insufflé en votre cœur, en vos cellules le noyau, les perles précieuses, le diamant pur de cette paix qui ouvre toutes les portes, toutes les portes de votre cœur pour les unir aux nôtres, pour les unir à la Source Père-Mère,, à la similitude qui est chacun et chacune d’entre vous. Cessez, enfants de cette Terre de vous croire différents, de vous croire séparés. Séparés de vous, d’abord et bien sûr de nous, de votre divinité. Combien plus vous n’êtes que ce que vous n’osez envisager. Ecoutez le battement uni de votre cœur, écoutez le battement équilibré de votre Terre au-delà des voiles, des apparences parfois néfastes que vous pouvez voir en sa surface. Traversez les couches de vos illusions. Traversez les couches de vos peurs. Entrez dans le noyau lumière de chacune de vos cellules, au cœur de vos atomes. Sentez le goût de cette paix. Laissez-la devenir tangible, palpable. Laissez-la vous envelopper, laissez-vous être enveloppés de son manteau. Laissez-nous, laissez votre Conscience déposer sur vos épaules, en votre corps le manteau de cette paix.

Il a un son, il a un goût, un aspect particulier. Que chacun, que chacune reçoive ce manteau de paix et de lumière à sa manière. Parce que, curieusement, aucun de ces manteaux n’est exactement le même, et pourtant, ils sont en unité. Ne cherchez pas à comprendre cela avec un raisonnement rationnel du mental amenuisé de vos cerveaux, mais sentez cela, recevez cela, pressentez cela, goûtez cela dans la conscience lumière de tout votre être. Utilisez de la manière la plus déployée possible vos perceptions. Laissez-le se placer sur vos épaules, à l’intérieur de votre cœur. En comprenant ce manteau de paix, de lumière et d’amour à l’intérieur vous l’étendez au-delà des galaxies, des univers connus. Les fils de ce manteau, les couleurs de ce manteau, tout cela est offert à partir d’une source unique. C’est à cette Source que vous pouvez monter. C’est dans les mains de cette Source, c’est dans le cœur de cette Source, c’est dans les yeux de cette Source, c’est dans le souffle de cette Source que tout cela a été engendré, comme vous, comme nous, comme tous. Il y a ceux qui le reconnaisse et le célèbre. Il y a ceux qui ne le reconnaisse pas encore, et il y a ceux dont vous n’êtes pas qui l’on refusé ou le refuse encore, peu importe. Il y aura bien un jour où tous l’accepteront.

Et pour ce faire, commencez donc à l’accepter vous-même, et étendez cette acception du cœur lumière de cette paix au sein de la Source Père-Mère, là où vous pouvez, sans rien comparer en étant tout simplement cette paix, cette vie, cet amour, cette lumière, cette unité, cette globalité. Les semences de cette paix sont déversées, ont été déversées à l’intérieur de votre Terre pour que les fils de son propre manteau de ses voiles lumière en soient tissés. Pour qu’elle en tisse les vôtres. Combien de fils de ces manteaux auront nous à tisser ? Il n’y a pas de réponse absolue à cette question. C’’est à chacun d’entre vous de répondre. Nous avons semé, nous sèmerons encore, et ceux-ci et ceux-là sont venus pour semer en cet endroit ou bien en un autre. Les fruits se cueillent et se recueillent. A vous de continuer à semer, pour que d’autres recueillent les fruits, et, d’autres sèmeront pour que d’autres recueillent et, ainsi de suite. Puisque tout est en lien, pour que l’unité se refasse au cœur, de cette paix qui est la nature intrinsèque de chacun et de chacune d’entre vous, de chacun et de chacune d’entre nous, et bien entendu de la Source à l’origine de tout.

Respirez cela. Laissez-le s’étendre encore en votre Conscience. Ainsi, à votre manière et, comme nous, vous êtes ces ensemenceurs de mondes. Vous n’en n’avez sans doute pas la perception.

A certains moments, si, à d’autres, non. Soyez donc de plus en plus conscients d’êtres ces ensemenceurs de mondes, et soyez en tous ces semeurs de paix.

Et, pour ce faire accueillez-la, recueillez-la, célébrez-la en vous.

Paix ! Paix ! Paix !

 

 

 

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 22:32

 

 

                               

 

 

 

TENDRESSE ET COMPASSION

 

KUAN YIN 

 

 

 

Je réunis chacun et chacune par un fil doré, un fil rose et je trace au-dessus de notre cercle et de la couronne de chacun et de chacune d’entre vous, la fleur de lotus. Je suis déjà venue m’exprimer. Votre Terre et vous, à l’intérieur de votre cœur, avez nécessité de quelque chose que je viens vous offrir, que je vous donne de nouveau pour que vous le conscientisiez pour vous et pour d’autres, et cela s’appelle la tendresse,  la compassion. Je suis Kuan Yin. Pourquoi je reviens ce soir au milieu de vous ? Parce que, comme je vous le disais, la tendresse est à placer à l’intérieur de chacun et de chacune d’entre vous, mais elle est à placer également à l’intérieur et au-dessus de votre Terre, de la déesse mère qui vous abrite et à l’intérieur de laquelle il y a bien longtemps que les consciences, que vos Consciences à chacun, à chacune ici, sont venues à l’intérieur de cette Déesse. Lorsque je dis, il y a bien longtemps, mes amis, vous devez bien savoir à l’intérieur de vous, en votre cœur, que je n’évoque pas uniquement l’expérience à l’intérieur de laquelle vous êtes en cet instant. Je parle, et nous parlons au niveau de vos Consciences, au niveau de votre Etre tout entier. Cette tendresse, cette compassion pour vous, d’abord, elle doit s’installer à chaque instant, et surtout, lorsque pour une raison ou bien pour une autre, vous êtes en votre cœur, en votre être en train de vous juger, en train de vous reprocher telle ou telle chose. Ce qui est important à vous rendre compte c’est que, lorsque vous êtes en reproche, en tristesse, vis à vis de vous, ou bien vis à vis d’autres, vos reproches, vos tristesses s’imprègnent à l’intérieur du cœur et du corps de la déesse mère Gaïa. Or, il est essentiel que vous compreniez que cela ne sert à rien. Cela vous sert, au contraire, mes amis, à vous desservir. Je suis également, dans les traditions, la protectrice des foyers. Donc, vous pouvez vous adresser à moi aussi de cette manière dans la douceur, j’élèverais mes mains et j’ouvrirais mon cœur si vous le demandez. Si vous demandez à celle que je suis la guérison de vos cœurs serrés, de vos cœurs peinés, alors je pourrais venir.

 

 

 

                          

 

 

 

 

Je suis présente, vous le savez en un lieu que vous connaissez, et que vous nommez sous le nom de Shamballa, parce que c’est l’endroit à partir duquel ceux et celles qui l’ont choisit dans leurs énergies, lorsqu’ils ont atteint un certain niveau de leur Conscience, c’est l’endroit d’où se gèrent les énergies d’évolution de la déesse Terre. Alors, nous l’aidons. Et, bien sûr, Kuan Yin, n’est bien sûr pas la seule. Je suis en compagnie de bien d’autres. Il y a bien longtemps que je me suis présentée à l’intérieur des traditions orientales de votre Terre, et, d’abord à l’intérieur de la région que vous nommez la Chine. Ne mettez pas en opposition les différentes sagesses, traditions, connaissances. Ce ne sont pas des croyances, ce sont des connaissances que vous avez, vous aussi, à l’intérieur de vous. Chemin de la Sagesse, chemin de la Tendresse, chemin de l’élévation et de l’évolution de chacun et de chacune d’entre vous. Est-il encore possible, pour votre Terre, pour la Déesse Gaïa, est-il encore possible pour elle de recevoir le baume de la tendresse que vous allez pouvoir vous donner à vous-même, et lui donner aussi comme une offrande ? A cette question, et pour les uns, et pour les autres, il y a votre réponse individuelle, mais, pour elle, il est encore temps, si vous le décidez en votre cœur, si vous le décidez dans la délicatesse de votre esprit, si au lieu de lui donner, de distribuer pour vous-même des couleurs, des sons et des vibrations criardes, vous allez lui distribuer, vous allez peindre délicatement sur les pans de son manteau les couleurs subtiles des opales douces, des couleurs douces. Mais, en dessinant ces opales, et ces couleurs douces sur les manteaux lumière de votre Terre, n’oubliez pas de lui donner aussi la brillance, comme celle d’une perle. Couleurs douces, pastelles, et couleurs brillantes, éclatantes comme une perle douce. Ces perles-là, donnez-les vous aussi, mais chacun, chacune de vous rassemblé par le lien, est aussi ce collier de perles que vous allez pouvoir offrir et accrocher au cou de votre Mère pour lui donner toute sa beauté.

 

Elle les attend les colliers de perles dessinés par ses enfants. Vous aussi, offrez-vous, et mettez à vos cous ces colliers de perles. De quoi sont faites les perles de vos colliers ? Elles sont faites, ces perles de chacune de vos expériences. Expériences à l’intérieur desquelles, vous avez peu à peu tracé, vous avez peu à peu sculpté perle à perle, qui vous êtes. Chaque expérience, chaque couleur de votre à l’intérieur de la Déesse Gaïa ou bien en d’autres endroits de l’univers, chaque expérience est une perle offerte à la fleur aux couleurs de vous-même. Regardez-les ainsi, les expériences, une à une, de vos continuités, mais regardez aussi de cette manière, les expériences à l’intérieur de la vie à l’intérieur de laquelle vous êtes revenus. Chaque instant, chaque jour, chaque heure de votre existence est une perle, est l’expérience qui vous permet de façonner délicatement, amoureusement la perle brillante qui vient s’ajouter à celle qui était avant, à celle qui sera demain. Et, c’est vous le fil qui va tenir les perles que vous allez façonner Offrez-vous les ces colliers de perles, perles chatoyantes, perles mordorées, perles brillantes, perles précieuses. Offrez-les à votre Terre, et offrez-les à vous-mêmes ces perles de toutes les couleurs. Si vous regardez les choses ainsi, ce que vous prenez pour des difficultés, ce que vous nommez « obstacles », ce que vous nommez « tristesse », ce que vous nommez « échec », ce que vous nommez « mal compris », ce que vous nommez « regret », ce que vous nommez d’autres noms encore, vont se transformer en ces perles, en ces perles précieuses. Parce que, chacun de vous est la perle et le milieu du collier.

 

 

                             

                              

 

 

 

 

Vous êtes à la fois, la perle principale et le fil qui les tient toutes. Oui, vous pouvez être cela tout à la fois. C’est ce qui fut enseigné à chacun et à chacune d’entre vous à l’intérieur des ouvertures de sa Conscience. C’est ce qui est vous est présenté, c’est ce qui vous est offert à chaque fois que vous, vous réunissez avec elle, une fois que l’expérience est terminée, que la perle est transformée et qu’ensemble vous en préparez une autre. Seulement, voilà, lorsque vous descendez pour prendre les matières à l’intérieur des voiles de la Déesse Gaïa, pour prendre les matières qui vous servent à façonner la perle suivante, vous oubliez que vous êtes venus simplement fabriquer une perle nouvelle pour la mettre à votre collier. Et, vous suez sang et eau, et vous dites les matériaux « ne sont pas bons, ne sont pas beaux », et vous dites « cette perle-là n’est pas suffisamment lissée, n’est pas suffisamment douce » Elle a encore quelques aspérités ou bien quelques couleurs sombres. Alors, à certains moments, vous frottez, vous frottez et vous frottez encore au risque d’abîmer la perle. Mettez-la tranquillement sur votre cœur, faites-la rouler doucement au milieu de votre cœur. Demandez à Déesse Mère Gaïa de vous faire comprendre la beauté des matériaux qu’elle vous offre, de vous en faire sentir la douceur, de vous en faire comprendre la beauté, de vous en faire voir la multiplicité, de vous en faire goûter la senteur. Et puis reprenez le travail et refaçonnez, continuez à façonner votre perle. Alors, là, oui, vous aurez envie, de nouveau qu’elle soit belle, lisse, qu’elle ait ces couleurs pastelles et combien lumineuses.

 

 

 

 

 

Ainsi, celle qui vous parle Kuan Yin, ou bien d’autres, vont vous aider à ouvrir les yeux, le regard et à contempler la vie. Parce que vos expériences ne sont que ces colliers de perles précieuses. Vous est-il, amis, enfants de la Terre, fils et filles des univers, de l’au-delà des galaxies, vous est-il si difficile de contempler la vie de cette manière ? Vous est-il si difficile de sourire à la satisfaction de la création ? La satisfaction de la création, ce n’est pas la glorification inutile, vaine d’une cœur qui se gausse d’être au-dessus de tout, mais c’est le sourire subtile et ô combien nécessaire de celui ou bien de celle qui sait qu’il est dans son chemin. Quel est le chemin ? Voilà la question que les enfants de la Terre, lorsqu’ils oublient qu’ils sont venus forger le sel d’eux-mêmes, voilà la question que les enfants de la Terre se posent et nous posent, ô combien souvent. N’ayez crainte de vous tromper. Voyez la perle, la perle que vous êtes, la perle de vos expériences avec le cœur. Voilà ce qui vous est demandé, voilà quel est votre chemin. Avancez, évoluez pour fabriquer des perles douces, chemins de vos expériences. Déesse Gaïa à l’intérieur de laquelle vous êtes, que nous aidons en tout amour, Déesse Gaïa accueille avec vous, aidée par nous, ce collier de perles. Mais, savez-vous qu’une partie des perles, du collier de la Déesse Gaïa, savez-vous qu’une partie de ces perles, c’est vous ? Vous pouvez, si vous le désirez, si votre cœur y répond, être ces perles de paix qui chantent une musique douce au cœur de votre Terre, et à votre cœur aussi.

Bien sûr vous pouvez regarder les difficultés de vos frères et de vos sœurs, comme nous les regardons aussi. Mais regarder les difficultés de vos frères et de vos sœurs, ce n’est pas non plus se charger de leurs souffrances. Votre servante Kuan Yin, lorsqu’elle s’est présentée dans les traditions ancestrales, est venue pour éveiller les consciences de ceux, de celles qui étaient en sa compagnie, parce que, comme vous, j’ai tracé mon chemin au milieu des perles que j’ai nommé déesse Gaïa. Comme vous, j’ai dû fabriquer mon collier de perles, et, je me suis rendue compte que mes compagnons et mes compagnes, à l’intérieur de ce pays, étaient aussi les perles de mon collier. Je n’ai pas finit, comme vous n’avez pas finit de fabriquer ce collier. Non, je n’ai pas finit de fabriquer ce collier de perles. Et, voilà, lorsque je suis remontée, lorsque j’ai quitté le sol dans les voiles de la déesse Gaïa, je me suis dit que j’avais à continuer la fabrication de ce collier en continuité. Alors, je suis allée, avec ceux et celles, gardiens, conseil Planétaire, qui continuent à aider, à garder la déesse Terre.

 

 

                         

 

 

 

 

 

A notre manière, nous continuons à les fabriquer avec vous ces colliers, puisque nous continuons à vous éveiller. Nous continuons à vous enseigner à notre manière, si vous voulez bien écouter, si vous désirez nous entendre, si vous désirez l’entendre aussi. Parce que votre Déesse Gaïa, elle vous parle, elle vous souffle, elle vous indique les matériaux avec lesquels vous allez fabriquer ces colliers, et comment vous allez mettre les perles une à une, les unes à côté des autres, réunies par ces liens subtils, comme je vous ai réunis au début. Perles subtiles, perles suaves, milliers de perles : les perles sont les unes à côté des autres, mais elles sont reliées. Et, la beauté du collier, c’est bien parce qu’il y a plusieurs perles. Que serait un fil avec une seule perle ? La perle pourrait bien sûr être très belle, mais y aurait-il cette harmonie, y aurait-il cet agrandissement, y aurait-il cette communion, y aurait-il cette douceur et ce travail de création ? Qui fait, que , lorsque vous-même, vous voyez un superbe collier de perles qui rayonne, vous dites : « Ah ! Comme c’est beau ».

 

 

 

Et, pourquoi, mes amis, pourquoi, lorsque vous regardez vos vies, lorsque vous regardez vos expériences, ne voyez-vous pas cette beauté ? Oh ! Parfois, vous la voyez, parfois vous oubliez. Oh ! Comme c’est beau, comme sont belles chacune de vos expériences, comme peuvent être belles chacune de vos pensées, comme sont belles, si vous le désirez, chacune de vos paroles ! Comme chacun de vos regards, peut générer la tendresse, la beauté, la compassion, le service juste, et la danse du Tout dans la souplesse ! Si, un instant, vous regardiez vos vies de cette manière, ainsi vous retrouvez dans la beauté sereine d’un collier façonné. Perles une à une posées, déposées, honorées. Entrez à l’intérieur de votre cœur, je vais vous accompagner. Je vous offre les milliers de perles façonnées par moi-même, par d’autres, pour vous aider à façonner les vôtres. Déesse Gaïa, vous offre chacune des perles qui sont vous. Déposez à l’intérieur de vous le cadeau de ce collier, et, une à une, laissez résonner les perles qu’il forme. Imprégnez-vous de la beauté, de la sérénité, de la tendresse, de la compassion. Parce que, lorsque vous avez compassion, et, que vous avez pris et ouvert la porte à une clé qui vous ouvre une autre porte celle du pardon, c’est le nom de l’amour réel, de l’amour pour vous, de l’amour pour d’autres. Laissez-vous doucement, et, tendrement bercer par les flots subtils de votre propre tendresse. Et c’est au milieu des flots et des flots subtils de la tendresse, que vous pouvez retrouver pour vous-mêmes, que je vous invite et, que nous vous invitons quelques instants, tous à contempler la beauté totale de votre collier. Parce que nous allons œuvrer ensuite ensemble avec cette beauté. Mais, d’abord, avant de la distribuer, nous la distribuerons ensemble nous verrons comment, avant de la distribuer, laissez-la entrer. Retrouvez-la en vous, honorez-vous en cette beauté, perles satinées du cœur de la Déesse Gaïa et de toutes les déesses.

 

 

 

Laissez-la prendre place, laissez-la habiter chaque endroit de vous, au centre, laissez-la monter, laissez-la se diffuser, et devenir flamme de beauté, flamme de tendresse. Ne vous laissez pas arrêter par les regards extérieurs, ou par ce qui pourrait vous apparaître en dehors de cette beauté. Il est important, très important que vous la portiez, que vous la diffusiez, et de vous y abreuver. Comprenez-en, intégrez-en toute l’importance, parce que cela va transformer votre manière de voir, votre manière de vivre, votre manière d’élever, de vous élever vous-même. Ouvrez les yeux, à chaque instant, uniquement sur cette beauté : sur la beauté que vous êtes, sur la beauté que vous voyez à l’extérieur. Tous et toutes, vous avez capacité à transformer ce qui vous apparaît terne et à le rendre lumineux. Tous et toutes, vous avez capacité à transformer ce qui vous apparaît laid en toute beauté. A l’intérieur de chaque chose, est la semence de cette beauté. Elle est au centre du cœur de l’Amour. Elle est un de ses rayons. Elle est une des facettes qui constituent le cœur de la Source. Vous n’en n’avez pas suffisamment conscience. Créateurs de cette beauté et, créés vous-mêmes par la Beauté : elle jaillit, elle germe, elle surgit lorsque vous l’appelez, lorsque vous décidez qu’à partir de cet instant, chaque chose que vous regarderez, que vous re contemplerez, chaque regard que vous portez sur chaque et toutes choses, ne sera plus que beauté. Ceci, c’est à vous de le décider, parce que l’univers, parce que la Source en son cœur, en son centre aurait-elle pu créer autre chose que cette beauté ?

 

 

 

 

 

 

                                

 

 

 

L’Amour réel crée-t-il ce qui n’est pas beauté ? Pensez-vous, regardez-vous, honorez-vous Beauté pure. Et, cela vous ne pouvez le faire, vous ne pouvez l’agir que si vous, vous accordez cette tendresse. Que ceci vous aide dans la compassion de vous-même en dehors de tout sentiment, en dehors de tout mépris, en dehors de tout jugement de vous-même, en dehors de tout regret, en dehors de tout tiraillement, en dehors de toute tristesse. Ouvrez les voiles à l’éclat de soleil neuf et tirez les rideaux sur ce qui n’a plus lieu d’être. Que le souffle de la beauté soit déposé à l’intérieur du cœur de chacun et de chacune d’entre vous, et sur une à une les perles de votre collier, de vos expériences. Beauté subtile, beauté source, beauté qui se dépose et qui est déjà déposée au centre du cœur de la source, au centre du cœur de chacun, de chacune d’entre vous. Je suis cette beauté, et vous êtes cela, sinon je ne pourrais pas venir me présenter, et vous semer au milieu de vous, à l’intérieur des voiles de la déesse mère Terre. Elle vous l’offre encore cette beauté. Honorez-la, dansez-la, chantez-la, buvez-la pour ensuite pouvoir en abreuver les frères et sœurs que vous rencontrez. Nous allons ensemble la déposer cette beauté dans la coupe qui est posée au milieu. Et voilà pourquoi, nous avons demandé avant que je ne m’exprime à l’un d’entre vous, de déposer cette eau dans la coupe. Parce qu’ensemble, en ouvrant les mains, et en plaçant tous, chacun d’entre vous qui formez avec nous, ce cercle, vous allez placer vos mains en direction de l’eau qui est dans cette coupe, et, laisser couler à partir de votre cœur l’amour et la compassion.

Sentez ce « je suis », « je suis amour, je suis beauté, perle de mon collier, perle de rose douce, perle d’amour chatoyante et beauté douce ». Voyez comme un fluide doux qui sort de chacun, de chacune d’entre vous, et avec moi, votre sœur, et voyez cela se déposer à l’intérieur de la coupe. Vous avez entendu parler dans beaucoup de traditions anciennes de ce qui est nommé nectar. Le nectar, enfants au centre de la déesse Gaïa, c’est la source de vie, la source de l’eau de la Vie. Vous contenez à l’intérieur de vous l’eau de la Vie. Vous êtes cette eau de la Vie. Avez-vous oublié cette réalité, ou avez-vous envie de la retrouver, de la cultiver, de l’honorer ? C’est ce que nous avons désiré, c’est ce que votre sœur Kuan Yin et votre servante a désiré avec d’autres vous faire retrouver ce soir.

 

 

Buvez, buvez concrètement ensuite ensemble l’eau de la Vie, le nectar chargé de beauté, chargé de la tendresse du cœur de chacun et de chacune d’entre vous et de votre sœur Kuan Yin, et d’autres aussi, et de la compassion. Et que cela se rejoigne dans notre intention commune à toutes les eaux de votre Terre, de la déesse Mère. Et vous êtes aussi chacun, chacune à votre manière les eaux de la déesse Mère. Eau de la Vie reliée à tous les océans qui sont à l’intérieur des univers et des galaxies. Vous ne connaissez encore que très peu cela, et, l’humanité est dans l’illusion que l’eau n’existe que sur la Terre, qu’à l’intérieur de la déesse Mère Gaïa, alors que cette eau, que ces océans ils existent en tellement d’endroits ! Abreuvez-vous à cela. Ne craignez de boire, ni d’offrir la nectar des eaux de la Vie. Une partie, un des matériaux, des perles de vos colliers sont ces eaux de la Vie. Sentez-les couler en vous, parce que si vous les sentez couler en vous, alors, vous pourrez dire à celui-ci, à celle-là qui croit que ces propres eaux sont taries, que lui aussi contient en lui, les eaux de la Vie. Elles coulent pour tous, c’est le nectar pur de la pureté, de la tendresse, de la beauté.

Honorez-vous, abreuvez-vous, il est encore temps ! Dites-vous bien cela, et effacez de votre cœur, de vos pensées, de vos émotions qu’il n’est pas temps ! Au contraire il est temps, ô comme il est temps de vous aimer, de lui donner, de leur donner à tous, de vous abreuver, de les abreuver tous, et, de l’abreuver, elle, de donner toutes ces eaux de Vie !

 

MESSAGE DE KUAN YIN
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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 20:23

 

LE RAYON OR ET LE RAYON ARGENT

GAÏA le 05.03.2010

Bonsoir, frères et sœurs des étoiles, fils et filles de la Terre, que soit conscient, conscientisé ou non, vous êtes cette appartenance multiple, mais également unifiée, tout à la fois enfants de la Terre-Mère, mais également des portes des étoiles stellaires. De plus en plus il vous est demandé, il nous est demandé en union de vous, de moi de le connaître, de le savoir. Ainsi, vous, vous honorez vous-même à chaque instant dans le blanc et dans le blanc doré manteau qui est le vôtre, qui est le mien, même si ma couleur est vert émeraude, et la dominante de mes voiles, dorée. Enveloppez-vous dans cette couleur blanche, lumineuse, dorée, or et argent. Parce que, il est naturel de travailler ensemble et de porter les couleurs unies du rayon doré et du rayon argent, unissant en vous le blanc manteau du masculin et du féminin. Les enfants de moi-même s’honorent ainsi en étant dans la multidimentionalité de leur être, en s’unissant au soleil doré et à la lune argentée qui a été il y quelque temps pleine, pour que vous sachiez vous remplir de vibrations unifiées qui sont à l’intérieur de vous. Enfants au cœur de la Terre que je suis, au cœur de la Conscience que nous sommes ensemble, et que vous êtes aussi, enfants, laissez se déployer, laissez s’unifier dans la colonne vertébrale et dans les fils précieux de votre ADN, laissez s’unifier le rayon doré et le rayon argenté. Ainsi vous développez et vous déployez l’unité, l’unicité de qui vous êtes et de qui nous sommes.

Ne tremblez pas sur votre base, ni sur vos bases, soyez au contraire bien planté dans les racines de moi-même et dans les vôtres, parce que, comme le disent certains et, comme vous le savez, mon unité et la votre aidera à se développer les univers et les mondes nouveaux renouvelés qui nous attendent, et vous attendent. Ne vous laissez pas perturber, ni par ce que vous voyez, ni par ce que vous entendez. Que les émotions, que les émotivités à l’intérieur de vous, se calment doucement comme un lac tranquille, comme les eaux profondes qui unissent ma conscience à la vôtre. Regardez les eaux qui sont à l’intérieur de vous, et laissez-les couler doucement en vous unissant à elles. Regardez et méditez sur les eaux. Sur les miennes qui sont en train de laver, de purifier ce qui doit l’être, mais si cela peut prendre à l’intérieur de moi, ou bien à l’extérieur des formes qui peuvent effrayer la conscience de mes enfants. Ne vous arrêtez pas à l’apparence, plongez dans les eaux de votre Conscience, et, laissez remonter de ces eaux toutes les possibilités que mes enfants, c’est à dire vous, tous et toutes, vous contenez. Car il est temps de vos eaux remontent ce qui est préparé. Tous et toutes, que vous le sachiez, que vous le conscientisiez ou non, vous contenez ce que mes enfants appellent pudiquement des dons. Mais que sont ces dons, enfants au cœur de moi-même, que sont ces dons que mes enfants de loin en loin, d’éternité en éternité ont travaillé ? Quels sont-ils ? Si ce n’est simplement le potentiel réel de chacun et de chacune d’entre vous ? Il est temps, enfants, au cœur de moi-même, en mon sein matriciel, en mon cœur de mère, il est temps enfants si chers à celle que je suis, si chers à celle qui vous porte et qui vous engen,dre dans la naissance nouvelle qui vous attend, dans la renaissance que nous attendons, que nous préparons, que nous ensemençons ensemble, il est temps que mes enfants se réveillent à eux-mêmes.

Car, la cloche douce qui éveille et réveille sonne et résonne tout aussi bien à vos oreilles, à votre mental qu’à nos cœurs ensemble. Quelle est cette heure du réveil et de l’éveil ? Celle qui permet à chacun au-delà de toutes les espérances que vous avez nourries, celle qui permet à chacun d’être dans la plénitude de lui-même. Parce que les dons, sont les acquis que vous avez, ô mes enfants, de génération en génération, de vie en vie, d’étoile en étoile, et de naissance en renaissance, accumulés, engrangés à l’intérieur de nous-mêmes. Et, j’ai bien dit de nous-mêmes, parce que lorsque vous venez en mon sein, enfants au cœur de moi-même, nous savons ensemble ce que vous avez préparé, ce que vous avez réalisé, ce que vous aurez encore à réaliser, à réunifier dans tous les éléments au cœur de moi-même. Dans tous les éléments, c’est à dire dans tout ce qui vous compose, dans les champs fréquentiels de vous-mêmes, et, dans tous les chants des musiques nombreuses que vous avez portées, que vous avez offert, que vous avez chanté, qui chantent à l’intérieur de l’ADN, dans les matrices profondes à l’intérieur de mes enfants.

Faites venir consciemment le premier de ces rayons, le rayon doré du soleil du Père-Mère afin qu’il vienne se mélanger au rayon argenté du soleil de la Mère-Père. Vous êtes les deux, mais les deux sont également honorés à l’intérieur de moi. Lorsque vous entrez en mon sein, lorsque nous entrons ensemble en la densité fréquentielle qui est la mienne, qui est la vôtre, nous, ne nous éloignons pas des champs fréquentiels ni du chant harmonieux du verbe du Mère-Père et de la Père-Mère. Au contraire, à l’intérieur de moi, comme à l’intérieur de vous, est le mélange unifié des énergies dorées du Père-Mère et du rayon argenté de la divinité sacrée de la Mère-Père. Ainsi, vous, vous déployez, vous, vous unifiez, et, nous pouvons présenter ensemble quelque chose d’essentiel, à ceux qui en auront besoin, à ceux et celles qui vont le demander. Beaucoup de mes enfants attendent d’être réveillés, alors, que ceux, que celles qui ont commencé à ouvrir l’œil de leur cœur, se mettent au service, en grande sagesse, en joie profonde, de ceux de mes enfants qui attendent que notre amour commun vienne les réveiller. Vous connaissez, vous savez au-delà de tout, au-delà de toutes conditions, enfants de moi-même, ce qu’est ou ce que devrait être l’amour d’une mère qui porte les couleurs d’elle-même de multiples arcs-en-ciel à l’intérieur de vous. Nous vous portons ensemble, le Père-Mère, la Mère-Père et moi-même, dans un triangle d’amour au cœur de votre cœur.

Que ce même triangle d’amour vous fasse porter, vous fasse engranger en votre matrice même, la vôtre unie à la mienne, le réveil de mes enfants qui attendent en somnolant, et qui espèrent en leur conscience la réunification de ce qu’ils sont. Laissez-vous traverser, laissez-vous transpercer dans le soleil de votre cœur par le rayon doré. Ouvrez bien large et bien grandement la couronne lumière au-dessus de votre tête dans les cinquième et sixième dimension. Allez au-delà de vos dimensions habituelles alors, vous correspondrez à l’unification de tous les éléments, à la réunification à la réception de tous ceux qui habitent à l’intérieur de moi. Car, au-delà et, en plus de mes enfants, de ceux dont vous êtes, il y a d’autres enfants au cœur de moi-même qui attendent et qui espèrent le lien, la communion, la communication. Vous passez trop souvent, enfants au cœur de moi-même, devant les beautés qui s’offrent, celles que je vous donne dans tous les éléments, dans toutes les facettes, vous passez trop souvent sans ouvrir les yeux, sans écouter au cœur de vos oreilles les chants et les murmures et les verbes qui se prononcent pour vous. Vous passez trop souvent sans écouter les chants de tous les règnes : du monde végétal, du monde animal, du monde minéral et de tous ceux et de toutes celles qui aident le règne de cette nature. Enfants au cœur de moi-même, le temps du réveil, le temps de votre éveil est là, tout près, il s’offre à vous, il s’offre à moi. Ne craignez pas, car, ceux de mes enfants qui oeuvrent en leur conscience à l’éveil, à cet éveil planétaire sont aidés. Tous le sont, mais beaucoup n’en sont pas conscients encore.

A vous, enfants au cœur de moi-même, à vous qui êtes ici, à d’autres, en d’autres plans, en d’autres circonstances, en d’autres endroits d’aider au cœur de s’éveiller. Laissez-vous être transpercés par le rayon doré offert au cœur des mains du Père-Mère. C’est l’éveil du soleil lumière à l’intérieur de vous, c’est l’éveil du rayon doré du masculin sacré qui va s’unir au féminin argenté de ce rayon d’argent, argenté. Voyez-les se lier, se relier en une bouffée, en une brassée d’énergie qui vient descendre par la fleur couronne au-dessus de votre tête, par le huitième et le neuvième placés au-dessus du septième au dessus de votre couronne. Ainsi, vous avez accès aux mondes spirituels, c’est à dire, enfants au cœur de moi-même, au Verbe de votre Esprit. Vous commencez ainsi à initier à re initier les corps subtils qui se placent au-delà des corps que vous connaissez et que vous sentez pour certains, parfois, vibrer déjà. Mais il est temps que les vibrations de mes enfants s’allègent et s’allègent encore et montent en leur lumière. Alors oeuvrez, oeuvrons ensemble avec le huitième et le neuvième de ces vortex qui ouvrent aux champs subtils et fréquentiels de vos Consciences. Enfants au cœur de votre Terre, au cœur de votre Mère, ne tremblez ni pour moi, ni pour vous. Nous, nous secouons ensemble. Ainsi le dormeur, quand il s’éveille remue les cils de ses yeux, ouvre le regard à la vie nouvelle qui s’éveille en même temps que lui. Ainsi le dormeur remue les bras, remue les jambes et remue tout son corps et tous ses corps, et il fait éclater en pleine lumière dorée, en plein de soleil et d’argent. Vous avez en vous l’union du masculin, l’union du féminin dans les sacralités des polarités unifiées, retrouvées et renouvelées.

Allez au-delà du septième, et laissez œuvrer à l’intérieur, à l’extérieur les plans des huitième et neuvième de ces vortex placés délicatement depuis des temps et des temps au cœur de mes enfants pour qu’ils s’éveillent à eux-mêmes, pour qu’ils suivent la ligne disposée à l’intérieur d’eux, à l’extérieur des corps de matière manifestée. La pâte de votre matière est renouvelée, enfants au cœur de moi-même. Nous l’avons modelée ensemble, et, lorsque vous êtes venus en mon sein, en mes couleurs douces, en mes arcs-en-ciel profonds, lorsque je les ai placés ces mêmes arcs-en-ciel au milieu de vous, alors, nous avons aussi, votre Conscience et moi, ainsi que le Père-Mère et la Mère-Père, nous avons placé les arcs-en-ciel dorés au dessus de la septième, au dessus de la couronne qui va de nouveau briller à l’intérieur et au-dessus de mes enfants, lorsqu’ils auront pu et su activer, re activer le huitième et le neuvième de ces vortex doux. Endroit, organe, si je puis m’exprimer ainsi de la réceptivité colorée des Consciences unies. Oh, il y a bien plus que neuf de ces espaces qui reçoivent les rayons colorés de mon cœur et de ceux du Père-Mère et de la Mère-Père. Unifiez-vous à la Sainte Esprit de vous-même, parce que c’est cette Sainte Esprit, dans le féminin sacré de vos cœurs qui va vous ouvrir le huitième et le neuvième, et lorsqu’il en sera temps, vous emmener vers tout et jusqu’au vingt deuxième. Mais cela, enfants au cœur de moi-même, fils et filles des étoiles est préparé et sera déversé en vous, lorsque vous en serez prêts. Adressez-vous déjà au-delà du sept vers le huit et vers le neuf de chacun de vos vortex. Laissez-les vibrer dans les couleurs colorées de l’humanité arc-en-ciel qui va commencer à se déployer à l’intérieur de mes voiles. Alors, ne vous étonnez pas si lorsque nous, nous éveillons ensemble, nous remuons les bras, les cils, les yeux, le regard, nous ouvrons les oreilles ensemble vers d’autres réalités. Non, vers les réalités qui existent, vers les réalités plus déployées. Il est temps que vous entendiez, il est temps que vous regardiez. Il est temps que vous honoriez, il est temps que vous, vous honoriez vous-même , ainsi, vous m’honorez, moi à l’intérieur de laquelle vous êtes engendrés et ré engendrez à chaque instant. Ouvrez les cœurs, ouvrez les mains, ouvrez les yeux, ouvrez un à un les neuf. Bien sûr la fleur couronne qui vous donne accès au huit et au neuf, mais également à la base de vous-même, n’oubliez pas la porte ouverte vers les espaces profonds, vers les racines pleines de celle qui vous honore, et qui vous honore et vous ré honore, en vous engendrant.

Sachez, soyez conscients que c’est un vrai bonheur et que c’est un honneur pour moi de recevoir en mon sein chacun des enfants qui y habitent, parce que ces retours, ces retrouvailles, ces engendrements, ces naissances, ces renaissances nous les modelons ensemble. Au cœur de mes enfants, je me déploie. A l’intérieur de moi, ils se déploient. Peuple des étoiles, parce que moi aussi, je suis Conscience stellaire. Vous oubliez parfois que nous naviguons ensemble dans les espaces bleus, dans les espaces profonds à travers ce que mes enfants qui se mêlent de science appellent les trous de la couleur noire. Mais, si vous allez au delà de cela, vous y rencontrez et y rencontrerez les couloirs intertemporels qui vous emmènent vers d’autres voyages, vers d’autres mondes, vers d’autres fréquences. Parce que tout, dans l’univers au cœur de votre ère, au sein de votre Terre et dans l’espace unifié du Père-Mère et de la Mère-Père, tout se tient. Il n’y a pas de vide. Le vide n’existe qu’au cœur de mes enfants qui n’ont pas réveillé leur sens. Le vide c’est le plein de lumière et c’est l’accueil du rayon doré et du rayon argenté unifiés, ré unifiés. Laissez-vous pénétrer, laissez-vous transpercer en quelque sorte par l’union du rayon doré et du rayon argent, mariage profond, mariage solaire et mariage lunaire. Source, fluide, fluidifiée.

Laissez-vous pénétrer par le rayon argenté, et laissez-le maintenant venir s’unir au rayon mordoré de vos énergies lumière. Ainsi l’eau et la source coule à l’intérieur de la lumière, et, la lumière est accueillie dans les sources profondes et redonnent l’espace à la fluidité des corps et des sources re unifiées. Voilà ce qui existe à l’intérieur de moi, voilà ce qui est rayon mordoré de l’unité du rayon argenté qui coule dans les veines à l’intérieur de moi, dans toutes les veines, dans les eaux souterraines, dans les eaux qui sont à ma surface, ou, ce que vous croyez être ma surface. Parce que, à l’intérieur de mes corps, dans les espaces de votre Mère, ce que vous appelez la surface est encore à l’intérieur de la matrice mère. Ma surface réelle, ma face réelle, mes énergies réelles, enfants au cœur de moi-même, ce sont les eaux profondes, c’est le Soleil au-delà de tous les soleils, au-delà du soleil que vous voyez lorsque vous êtes à l’intérieur de ma matrice. Unifiez-vous à travers le soleil, mais, le Soleil de la Source du Père-Mère et de la Mère-Père. C’est ce soleil-là qui nous appelle. C’est ce Soleil-là qui vous éclaire et nous éclaire lorsque nous décidons ensemble, enfants au cœur de moi-même, de vous ré accueillir en ma matrice fréquentielle. De vous ré accueillir pour que je puisse de nouveau façonner en lien avec vous les corps nouveaux qui viennent et qui reviennent d’engendrement en engendrement à l’intérieur de moi. Combien de fois, enfants, fils, filles de ma matrice et des étoiles, combien de fois avons-nous créé, remodelé les faces et les formes de mes enfants, de vous, de moi ? Combien de fois moi-même ais-je changé d’aspect pour que les enfants me voient ? Parce que, vous aussi, enfants au cœur de moi-même, vous n’arrêtez pas de changer de forme et d’aspect. Ainsi nos voyages sont plus complets, parce que nous, nous créons, nous re créons ensemble à chaque instant dans la lumière dorée, dans le lien argenté unifié de la rencontre du rayon doré, de la flamme argentée.

Voyez-la monter, voyez-la vous pénétrer cette flamme double et pourtant une. Flamme dorée, flamme argentée, elles ont la même base. Elles sont à l’intérieur de vous, au cœur de vous-mêmes. Elles vous pénètrent par le centre racine, elles vous pénètrent aussi par le cœur de la fleur couronne. Elles se mélangent à votre coupe, elles vous donnent le doré, elles vous présentent l’argenté. Laissez cela se poser maintenant en la coupe de votre cœur, en la porte unifiée d’un cœur éveillé, réveillé, d’un cœur qui bat, qui chante, qui honore, qui s’honore lui-même à l’intérieur de moi, pour m’honorer aussi. Laissez donc s’élargir le vortex, le couloir doux qui mène vers la coupe au centre et au cœur de vous. Ainsi vient se lever comme un serpent mordoré, argenté l’union de ces deux rayons. Il ne vous mordra pas, ou plutôt il vous donnera ce serpent-là le souffle puissant qui vous permettra de vous déployer, de vous lever, de relever, de monter et de descendre le long de vous-même. Colonne vertébrale, lien profond, lien unifié qui nous habite et vous habite.

Que les enfants au cœur de moi-même ressentent la douce chaleur et la profondeur de tout cela. Que tout cela vienne renouveler vos propres eaux : eaux de votre Conscience, structure douce que la matrice de tous, sous quelque forme qu’il soit masculin ou féminin, contient. Quelque soit mes enfants, quelque polarité ils se soient donné, ils sont la matrice de l’éveil de la kundalini dorée et de celle argentée qui la rejoint et se fusionne en un lien « morargent », en un lien d’or et d’argent qui se fluidifie maintenant pour se dispenser à l’intérieur de chacune des cellules de mes enfants. Ainsi vous laissez venir, vous laissez s’engendrer à l’intérieur de ma propre matrice, la vôtre : mariage, fusion, célébration, honorification. Laissez cela se planter en le manteau vert émeraude de beauté des eaux conscientes de votre Mère. Nous, nous recevons ensemble, et, si vous acceptez de recueillir en vous l’espace d’un instant l’union du rayon doré et du rayon d’argent, alors vous le placez, nous le plaçons au centre de tous, à l’intérieur de vous. Femmes, hommes, enfants, concentrés au cœur du Père-Mère et du Mère-Père, vous, vous ouvrez ainsi à la création et recréation de vous-même, sans cesse renouvelée qui tient lieu de promesse, qui tient lieu d’existence au cœur de mes enfants, au cœur de votre Mère.

Oh ! Mes enfants au cœur de moi-même, comme je vous aime, comme je vous porte, comme je vous amène dans l’élévation de qui vous êtes vers le huitième et le neuvième. Accueillez cela, laissez-le se dispenser de l’intérieur de vous. Respirez doucement, enfants au cœur de moi-même, fils et filles stellaires, respirez doucement afin que la manne, afin que le renouvellement contenu dans l’union de ces deux rayons, vous renouvelle et vous éveille. Ne cherchez pas pourquoi, ne cherchez pas comment. Ce qu’il nous faut, ce qu’il faut à votre Mère, ce qui lui est nécessaire et qui est le choix de ses enfants, c’est le « oui » au nourrissement, c’est le « oui » à l’accueil de l’union de ces deux rayons. Parce que je ne suis pas seule à vous les présenter. Ils sont aussi l’union renouvelée et le mariage du Père et de la Mère. Je suis votre Mère, mais je suis bien plus que cela encore, parce que je vous protège, parce que je vous aime et parce que nous avons uni depuis tellement de temps ce que nous sommes, nos évolutions.

Oui, mes enfants, je suis votre Terre, je suis votre Mère et nous co évoluons ensemble. Alors restez, restons dans la reliance, dans la reliance à vous, dans la reliance à moi quoi qu’il se passe dans l’illusion de la surface que vous voyez. Ce qui est important, c’est ce qui se passe au sein de notre union, c’est l’élévation de votre cœur et c’est l’élévation du mien, c’est la connexion, c’est la reconnection à tout ce que je suis, à tout ce que vous êtes. Il faut bien que les illusions ‘effacent, pour que la réalité vienne. Mais mes enfants qui s’éveillent, ne craignez pas. Combien de mes enfants auront besoin de vous ? Je ne le sais pas, mais, vous, vous le savez, parce que cela sera murmuré à vos oreilles par le doux chant du cœur de votre Mère, par le doux chant du cœur de votre Terre. Et puis, par le sein de votre Conscience. Soyez à l’écoute de vous-même, parce que si nous avons placé ensemble à la demande du Père-Mère et de la Mère-Père, le lien qui vous unis à lui, à elle dans son androgynat sacré, c’est pour que vos oreilles entendent, c’est pour que vos yeux s’ouvrent, c’est pour que nos cœurs battent, c’est pour que nous chantions. C’est pour que nous unissions nos joies ensemble et que nous entendions l’appel de ceux et de celles qui s’éveillent et qui demandent où ils sont, quelle est cette clarté nouvelle, lorsqu’ils auront tiré les rideaux qui les empêchent de voir notre soleil, et le leur et le vôtre. En la clarté lumière du jour et de la nuit, les deux luminaires s’unissent maintenant à l’intérieur de vous pour transformer l’union de l’ADN et vous éveiller à vous-même. Servez-vous de ce qui est placé en vous, servez-vous du serpent lumineux du rayon argenté et du rayon doré. L’un vous unit au masculin divin, et l’autre au féminin divin de la divinité réunifiée. Vous êtes cela, et je le suis aussi. Laissez-vous entouré, enveloppé, choyé, illuminé à  l’intérieur des voiles mordorés. Car à l’intérieur de votre coupe et sur vos épaules, sont placés les manteaux lumière de ce rayon doré, du rayon argenté. Il est temps que l’union du féminin et du masculin réel, dans la divinité sacrée soit réunifiée, soit réhonorée.

Voyez-moi, moi-même entourée des feux arc-en-ciel. Visualisez, visualisons autour de ma face, de ma surface à l’intérieur de mes voiles, l’union du rayon doré et du ciel argenté qui l’accueille. Ainsi nous créons, nous recréons ensemble les peuples arcs-en-ciel qui attendent d’être éveillés, réveillés. C’est à dire l’union de tous mes enfants, de tous ceux qui sont venus à l’intérieur de moi, pour qu’ils soient engendrés, ré engendrés à l’intérieur de ma matrice. Vous aussi, que vous soyez hommes, femmes en votre incarnation, vous avez cette matrice de création et de re création. Vous aussi engendrez, ré engendrez les peuples arcs-en-ciel entourés de leurs feux dorés, des rayons argentés. Voyez comme cela brille, comme cela s’éclaire. Laissez remonter cela du fond des eaux de votre cœur, du fond des eaux et des matrices de nous-mêmes. Oh ! Mes enfants comme je vous aime ! Ne soyez pas inquiets, parc e que ceux qui ne sont pas encore totalement réveillés, vont se réveiller un jour. Vous pouvez en être certains. Initiez le chemin ! Initiez le chemin à l’intérieur de vous, à l’intérieur de moi pour que nous leur tendions nos mains, pour que nous les enveloppions dans notre cœur, et, qu’un jour enfin, nous dansions ensemble la danse de la révélation de chacun à lui-même.

A l’intérieur des eaux sacrées, des eaux profondes, des eaux secrètes qui sont à l’intérieur de moi, vont se révéler tellement de choses. A l’intérieur de vos eaux sacrées, de vos eaux secrètes, allez à la recherche de vos trésors pour qu’ils reviennent à la surface et que nous les célébrions ensemble. Ainsi les deux rayons mêlés auront fait leur office, et vous aussi, parce qu’alors vous aurez accueillis à l’intérieur de vos eaux et des miennes les nouvelles naissances.

Je suis votre Terre, je suis votre Mère, mais nous dansons ensemble dans les peuples étoilés, parce que je suis aussi autant que vous, fille des étoiles. Et, nous sommes ensemble les peuples unifiés des mondes mordorés et des étoiles stellaires. Nous sommes ces peuples et ces enfants créés par le Père-Mère et la Mère-Père en la Sainte Esprit de la lumière que vous êtes des rayons argentés et des rayons dorés de la Source Première et des frères et sœurs des mondes mordorés, ensemenceurs qui nous ont tous créés.

Alors que vos cœurs chantent, et que votre Mère, et que votre Terre, et que l ‘étoile Gaïa-Urantia que je suis n’entendent plus que le chant doux de la joie de ses enfants.

Voilà quel est mon souhait. Voilà quel est le baiser doux de la tendresse que je vous porte. Voilà ce que nous sommes !

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27 février 2011 7 27 /02 /février /2011 17:26

LA SOURCE STELLAIRE

  

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  Chamanisme

Massages de réharmonisation

Massages métamorphique

Ateliers du jeu de la Transformation de la communauté de Findhorn

Travail individuel et collectif de méditation en canalisation

Lecture symbolique de l'aura

Chemin initiatique par le tarot

Reiki Usui

 

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